L ESPACE PUBLIC ET LE RELIGIEUX
Ce soir " C'est dans l'air" d'Yves Calvi débattait sur l'identité nationale.
L'un des intervenants, Daniel Lefreuve , historien, qui vit dans le 18e a évoqué le problème posé par les musulmans qui occupent l'espace public pour leur prière et bloquent la circulation tous les vendredis.
Ceci dans l'indifférence des autorités parisiennes et nationales d'après les recherches que j'ai faites sur Internet. Il y aurait deux mosquées dans le quartier, plus une salle de prière rue Affre. Mais de nombreux musulmans viennent prier d'autres quartiers où il n'y a pas de mosquées.

Questions aux autorités parisiennes et nationales :
Peut-on dans notre pays bloquer la circulation et occuper l'espace public dans la plus totale indifférence des autorités ?
Que se passerait il si un immeuble brûlait ?
Que se passerait-il si une ambulance devait intervenir en urgence ?
Si les lieux de cultes sont insuffisants, qu'attend l'équipe de Delanoé pour accorder aux musulmans des locaux supplémentaires ou impulser avec les responsables religieux la construction de mosquées, ce qui n'obligerait pas la population du quartier à dévier de sa route et permettrait aux musulmans de prier dans des lieux propices ?
Faut-il rappeler que nous sommes dans un pays qui depuis 1905 a déclaré la séparation de l'église et de l'Etat et que c'est l'état qui gère l'espace public et non pas la religion ?
Faut-il rappeler que les gens ont le droit de prier dans des conditions décentes et bien que nous soyons dans un état laïc, nous sommes quand même tenus au respect des religions quelles qu'elles soient ? Mais en aucun cas la laïcité pourrait servir d'alibi ou d'excuse à ce type de situation qui ne contribue qu'à exacerber les rivalités entre les communautés et non pas à mieux vivre ensemble.
Les élus politiques doivent attendre qu'un drame survienne pour pousser de hauts cris et s'accuser de négligence les uns les autres au lieu d'essayer de trouver une solution à cette situation intolérable autant pour les uns que pour les autres.
L'un des intervenants, Daniel Lefreuve , historien, qui vit dans le 18e a évoqué le problème posé par les musulmans qui occupent l'espace public pour leur prière et bloquent la circulation tous les vendredis.
Ceci dans l'indifférence des autorités parisiennes et nationales d'après les recherches que j'ai faites sur Internet. Il y aurait deux mosquées dans le quartier, plus une salle de prière rue Affre. Mais de nombreux musulmans viennent prier d'autres quartiers où il n'y a pas de mosquées.

Questions aux autorités parisiennes et nationales :
Peut-on dans notre pays bloquer la circulation et occuper l'espace public dans la plus totale indifférence des autorités ?
Que se passerait il si un immeuble brûlait ?
Que se passerait-il si une ambulance devait intervenir en urgence ?
Si les lieux de cultes sont insuffisants, qu'attend l'équipe de Delanoé pour accorder aux musulmans des locaux supplémentaires ou impulser avec les responsables religieux la construction de mosquées, ce qui n'obligerait pas la population du quartier à dévier de sa route et permettrait aux musulmans de prier dans des lieux propices ?
Faut-il rappeler que nous sommes dans un pays qui depuis 1905 a déclaré la séparation de l'église et de l'Etat et que c'est l'état qui gère l'espace public et non pas la religion ?
Faut-il rappeler que les gens ont le droit de prier dans des conditions décentes et bien que nous soyons dans un état laïc, nous sommes quand même tenus au respect des religions quelles qu'elles soient ? Mais en aucun cas la laïcité pourrait servir d'alibi ou d'excuse à ce type de situation qui ne contribue qu'à exacerber les rivalités entre les communautés et non pas à mieux vivre ensemble.
Les élus politiques doivent attendre qu'un drame survienne pour pousser de hauts cris et s'accuser de négligence les uns les autres au lieu d'essayer de trouver une solution à cette situation intolérable autant pour les uns que pour les autres.