LIBE...
... nous parle de foi d'empoigne en Malaisie : " ...En Malaisie en décembre,
un tribunal a permis d’utiliser le mot «Allah» pour désigner le dieu des chrétiens. Dans le contexte interethnique très tendu de la Malaisie, peuplée à 60 % de Malais musulmans et à 9 % de
chrétiens d’origine chinoise ou indienne, ce jugement a été perçu par beaucoup de musulmans comme une insulte..." .
Résultats : " Depuis le début de l’année, onze églises ont été attaquées à travers le pays à coups de bombes incendiaires, de pierres ou simplement aspergées de peinture. "
Vient plus loin l'explication du choix de cette appellation car enfin quelle idée pour des chrétiens d'utiliser un terme arabe pour désigner leur Dieu ? Faut être un peu barge pour faire de la provocation quand on est minoritaire dans ces pays- là ! ..." Parmi les chrétiens de Malaisie, le terme arabe «Allah» est surtout utilisé par les populations autochtones des Etats de Sabah et de Sarawak, sur la partie malaisienne de l’île de Bornéo. Converties depuis des siècles au christianisme, elles utilisent le malais comme langue vernaculaire et leurs livres religieux sont en malais. Tant que cet usage du terme «Allah» est resté confiné à cette partie insulaire de la Malaisie, il n’a pas créé de controverse. Mais beaucoup de membres des tribus de Sabah et Sarawak ont émigré ces dernières décennies vers la partie péninsulaire du pays, amenant dans leurs bagages leur liturgie en malais. "
Pas plus compliqué que ça. Ce n'est même pas de la provocation ! Alors avec sa foi (re)d'empoigne, il repassera le journaliste de Libé !
Quant à moi, je passe sur l'attitude du gouvernement malais que vous pouvez découvrir en cliquant sur le lien
Le journal Libération, et c'est tout en son honneur, a parcouru un long chemin pour découvrir que les adeptes d'une religion lambda peuvent être ...euh...comment dire ... coupeurs de cheveux en quatre, non partageurs jusqu'à devenir vindicatifs et querelleurs.
Ah mais, ce sont de vilains défauts ! Leur Dieu, pour mettre fin à toutes ces querelles qui dévoilent révèlent la faiblesse de leur foi, leur peur de ne pas être dans le vrai et surtout leur agressivité, devrait leur envoyer un message clair du genre " : Je suis un pur esprit comme un autre, ni mieux ni moins bien. Au -dessus des contingences alimentaires, vestimentaires et argumentaires. Vous commencez à m'emm... avec toutes ces conneries. P'tain, mais vous êtes majoritaires en Malaisie alors ne soyez pas si susceptibles ! Je tiens à préciser que je me fiche royalement divinement que l'on m'appelle comme ceci ou comme cela. "
Mais qu'il ajoute, puisque vraisemblablement il est gentil comme tous les dieux réels et non pas comme ceux que les hommes ont crées à leur image : " Vivez et soyez heureux, c'est le seul moyen que vous ayez pour me remercier de vous avoir donné cette chance. Comme, par ailleurs je ne suis pas rancunier je ne vais même pas vous menacer de vous foudroyez sur -le -champ. Seulement, tintin pour le paradis si vous ne changez pas d'attitude ! Oui c'est du chantage, mais après tout pourquoi je me gênerais et ne serais pas un peu humain parfois à force de ne pas être entendu ? "
Heureusement que la Malaisie est au bout du monde et que nous sommes dans un pays laïc où le religieux n'a sa place que dans le domaine privé.
Résultats : " Depuis le début de l’année, onze églises ont été attaquées à travers le pays à coups de bombes incendiaires, de pierres ou simplement aspergées de peinture. "
Vient plus loin l'explication du choix de cette appellation car enfin quelle idée pour des chrétiens d'utiliser un terme arabe pour désigner leur Dieu ? Faut être un peu barge pour faire de la provocation quand on est minoritaire dans ces pays- là ! ..." Parmi les chrétiens de Malaisie, le terme arabe «Allah» est surtout utilisé par les populations autochtones des Etats de Sabah et de Sarawak, sur la partie malaisienne de l’île de Bornéo. Converties depuis des siècles au christianisme, elles utilisent le malais comme langue vernaculaire et leurs livres religieux sont en malais. Tant que cet usage du terme «Allah» est resté confiné à cette partie insulaire de la Malaisie, il n’a pas créé de controverse. Mais beaucoup de membres des tribus de Sabah et Sarawak ont émigré ces dernières décennies vers la partie péninsulaire du pays, amenant dans leurs bagages leur liturgie en malais. "
Pas plus compliqué que ça. Ce n'est même pas de la provocation ! Alors avec sa foi (re)d'empoigne, il repassera le journaliste de Libé !
Quant à moi, je passe sur l'attitude du gouvernement malais que vous pouvez découvrir en cliquant sur le lien
Le journal Libération, et c'est tout en son honneur, a parcouru un long chemin pour découvrir que les adeptes d'une religion lambda peuvent être ...euh...comment dire ... coupeurs de cheveux en quatre, non partageurs jusqu'à devenir vindicatifs et querelleurs.
Ah mais, ce sont de vilains défauts ! Leur Dieu, pour mettre fin à toutes ces querelles qui dévoilent révèlent la faiblesse de leur foi, leur peur de ne pas être dans le vrai et surtout leur agressivité, devrait leur envoyer un message clair du genre " : Je suis un pur esprit comme un autre, ni mieux ni moins bien. Au -dessus des contingences alimentaires, vestimentaires et argumentaires. Vous commencez à m'emm... avec toutes ces conneries. P'tain, mais vous êtes majoritaires en Malaisie alors ne soyez pas si susceptibles ! Je tiens à préciser que je me fiche royalement divinement que l'on m'appelle comme ceci ou comme cela. "
Mais qu'il ajoute, puisque vraisemblablement il est gentil comme tous les dieux réels et non pas comme ceux que les hommes ont crées à leur image : " Vivez et soyez heureux, c'est le seul moyen que vous ayez pour me remercier de vous avoir donné cette chance. Comme, par ailleurs je ne suis pas rancunier je ne vais même pas vous menacer de vous foudroyez sur -le -champ. Seulement, tintin pour le paradis si vous ne changez pas d'attitude ! Oui c'est du chantage, mais après tout pourquoi je me gênerais et ne serais pas un peu humain parfois à force de ne pas être entendu ? "
Heureusement que la Malaisie est au bout du monde et que nous sommes dans un pays laïc où le religieux n'a sa place que dans le domaine privé.