DEUIL ET COLERE DES FAMILLES COMORIENNES...
...touchées par le crash de l'Airbus 310
Je comprends et partage la colère des français comoriens. C'est quoi cet avion pourri, exclu du sol français pour irrégularités en 2007 mais largué à la compagnie Yemenia ? On cèderait ainsi des vieux avions dangereux à des pays sans la garantie qu'ils vont les mettre en état de voler ?
Même pas sur la liste noire proposée par l'Union Européenne mais sur une liste grise et douteuse : mauvais état des ceintures de sécurité, absence de cartes d'embarquement laissant à penser que sa direction économise sur d'autres postes et que ses pilotes ne sont pas les meilleurs ! Bruxelles avait accordé un délai à Yemenia pour se mettre en conformité et celle-ci a finalement échappé en avril à son inscription sur la liste noire de l'UE de 200 compagnies dangereuses.
Les passagers quittent la France dans un avion sécurisés et, au Yemen, ils sont transbordés dans un avion poubelle pour finir le voyage sans que personne ne se préoccupe des conditions dans lesquelles ce voyage va se terminer.
Quelque chose ne tourne pas rond et ce quelque chose est en rapport avec le respect de la vie humaine qui devrait passer avant toutes considérations financières.
Je comprends et partage la colère des français comoriens. C'est quoi cet avion pourri, exclu du sol français pour irrégularités en 2007 mais largué à la compagnie Yemenia ? On cèderait ainsi des vieux avions dangereux à des pays sans la garantie qu'ils vont les mettre en état de voler ?
Même pas sur la liste noire proposée par l'Union Européenne mais sur une liste grise et douteuse : mauvais état des ceintures de sécurité, absence de cartes d'embarquement laissant à penser que sa direction économise sur d'autres postes et que ses pilotes ne sont pas les meilleurs ! Bruxelles avait accordé un délai à Yemenia pour se mettre en conformité et celle-ci a finalement échappé en avril à son inscription sur la liste noire de l'UE de 200 compagnies dangereuses.
Les passagers quittent la France dans un avion sécurisés et, au Yemen, ils sont transbordés dans un avion poubelle pour finir le voyage sans que personne ne se préoccupe des conditions dans lesquelles ce voyage va se terminer.
Quelque chose ne tourne pas rond et ce quelque chose est en rapport avec le respect de la vie humaine qui devrait passer avant toutes considérations financières.